dimanche 24 février 2013

Des nouvelles du front

Ca fait un moment que je n'ai pas écrit d'article plus classique pour donner quelques nouvelles. Je ne manquais pas d'idées et pourtant à chaque fois que je pensais en commencer un, je me ravisais et je reportais chaque fois le moment de le faire. Peut-être était-ce parce que j'avais trop de choses à dire et que, ne sachant pas par où commencer, j'ai préféré ne rien écrire et attendre que les choses se calment un peu. Ces dernières semaines je n'ai pas vraiment eu le moral, et je crois que c'était mieux que j'attende la fin du deuxième trimestre et son conseil de classe avant de venir faire un bilan. Les vacances étant enfin arrivées, je peux à présent dresser un bilan des derniers événements avec un peu plus de recul.
 
Le rendez-vous parents-profs :
          Avec la prof principale
- Elle commence par regarder mon bulletin et mes notes du premier trimestre, affirme que je suis une élève brillante et que c'est dommage qu'avec mon niveau en maths je ne fasse pas une fac d'économie et de gestion.
- Elle a évoqué la discussion que j'avais eue avec elle, a dit que j'étais "toute tristounette" quand nous avions parlé, a réutilisé le mot "maturité intellectuelle" pour expliquer à mes parents. Quand mon père lui a demandé ce qu'elle entendait par là, ayant un peu de mal à justifier ce qu'elle considérait comme un ressenti, elle a dit qu'elle craignait que le changement soit trop brutal pour moi.
- Ding dong, petite réaction dans la tête de notre chère Eva, qui réagit immédiatement en affirmant qu'elle n'a jamais été traumatisée par le moindre changement, ni entre collège et lycée, ni entre seconde première, ni entre première et terminale, et qu'elle était tout à fait capable de supporter la prépa.
- Elle a dit que la prépa avait l'air de me tenir vraiment à coeur, je lui ai expliqué mes raisons de vouloir faire une prépa, elle a dit, plus ou moins (je ne me rappelle plus exactement) que je me vendais bien.
- Elle est très sceptique sur les débouchés en psychologie et a terminé en disant "Donc vous mettez prépa en premier, psycho en deuxième" (ça sonnait presque comme un ordre).
Le rendez-vous a duré une quinzaine de minutes au lieu des sept prévues par le lycée, je pense avoir réussi à changer (un peu) le point de vue qu'elle portait sur moi. Au moins à présent sait-elle que je suis réellement motivée pour la prépa, que je n'y vais pas par défaut, que je sais à quoi m'attendre, que je sais exactement pourquoi je veux en faire une. Rendez-vous qui a été très utile donc.
         Avec le professeur de philosophie
14 de moyenne dans cette matière, attention à rester concentrée et à ne pas perturber le cours (oups), il sembleraient que j'aie le profil pour faire un IEP, ou, puisque la psychologie m'intéresse, assistante sociale (mais d'où sort-il cette idée ?). En parlant de mon projet de faire une licence de psychologie : "Vous valez mieux que ça" (je suis flattée même s'il disait ça plutôt dans l'idée de montrer que la psychologie c'est pas top et pas dans le but de mettre en valeur mes qualités).

Moyennes / Appréciations / Classement :SES : 11,5 (22/34) - Une moyenne en baisse, car il reste des maladresse à l'écrit, mais le travail personnel reste très sérieux.
Histoire-géographie : 12,2 (21/34) : Un bon trimestre, travail de qualité et qui a gagné en rigueur et peut encore le faire, une bonne présence en classe.
Histoire-géo en anglais : 11,5 (12/23) : Trimestre assez satisfaisant, de bons progrès, poursuivez ainsi.
Maths : 14,4 (7/34) : Bon trimestre, le travail est sérieux, bonne présence en cours.
Spécialité maths : 15,3 (6/28) : Très bons résultats. Trimestre satisfaisant.
Philosophie : 14 (3/34) : Des résultats très satisfaisants qui témoignent de la maîtrise des connaissances réclamées par l'argumentation.
Anglais : 16,1 (7/23) : Très bons résultats à l'écrit et à l'oral. Le travail d'Eva est sérieux. Très bonne implication en classe.
Espagnol : 12,8 (10/19) : Ensemble correct et sérieux.
Sport : 17 (2/34) : Très bon travail, vous avez été appliquée et rigoureuse. Poursuivez ainsi.
Moyenne générale : 13,7 (8/34) : Compliments (et pas félicitations qui ne s'obtiennent qu'à partir de 14 de moyene générale). Un très bon trimestre, le travail est sérieux en toute matière et la volonté de progresser sans faille

Le point orientation :
Mes voeux (dans cet ordre) : 2 hypokhâgnes B/L ; 1 hypokhâgne A/L ; 2 licences de psychologie. J'étais partie pour demander deux autres prépas, une A/L et une B/L, mais les journées portes ouvertes m'ont ôté cette idée de la tête : trop élitiste, trop stricte, ou bien trop religieux, et pour la A/L un prof qui ne m'inspirait pas le moins du monde. Celles de mon lycée, en revanche, étaient géniales. Profs qui ont l'air géniaux, brillants, passionnants et passionnés, ouverts, gentils, qui veulent une prépa humaine. Ce sera my first choice.

Le bac :Petit contresens et quelques incompréhensions, mais je pense avoir 16 à la compréhension orale en anglais, 8 à celle d'espagnol et figurez-vous que j'en suis contente (rappelez-vous du 4 au bac blanc qui m'a saccagé ma moyenne d'espagnol). Quant à la deuxième épreuve du bac de sport, CP5 (une sorte d'endurance), je pense avoir autour de 16.
 
Le moral :
Ca n'a pas été brillant. Les raisons :
          La culpabilité
J'ai toujours un gros, voire énorme relâchement au deuxième trimestre. Et encore, là pour le peu de travail que j'ai fourni je m'en sors quand même très honorablement, mais je crois que ce ne sera pas suffisamment pour être acceptée dans la prépa que je demande (1 élève sur 12 accepté, voire pire puisqu'ils ont monté dans le classement). Si je suis refusée je vais m'en vouloir pendant très, très, très longtemps. En fait je ne me pardonnerai jamais parce que j'aurai pu faire un très bon trimestre, je pense que j'en avais les capacités. Foutus deuxièmes trimestres. Mais ces dernières semaines (ou même ces derniers mois) j'ai perdu toute motivation. Plus d'écoute en cours, plus de travail personnel, plus aucune envie de me rendre au lycée.

          La tristesse liée à la lecture
- L'oubli : je lis un livre, je le termine, et peu de temps après j'ai déjà oublié l'histoire, le nom des personnages... Extrême frustration. Je ne lis pas uniquement par plaisir, mais aussi pour m'en souvenir, et me resservir de ces lectures pour des dissertations, ou bien pour ma propre réflexion, pour le plaisir de me raconter mentalement l'histoire... Et j'ai horreur de prendre des notes, donc cette méthode-là est exclue. En fait, peut-être devrais-je, chaque fois que je lis, me raconter dans ma tête ce qu'il s'est passé. Est-ce que ça travaille la mémoire de lecture cette méthode ?
- La vitesse : je lis très lentement. On aura beau me dire "C'est pas bien de lire vite" je ne serai jamais d'accord, lire vite ça permet de lire plus de livres, de mieux s'imprégner du style, de mieux rentrer dans l'histoire, que cette même histoire soit lu plus facilement "d'un seul bloc" pour qu'il y ait une meilleure continuité... Lire vite, depuis très longtemps j'aimerais y parvenir, mais non, je continue de lire une quarantaine de pages par heure (car en plus de ça je me déconcentre très rapidement, je pense à autre chose). Des tonnes de livres que j'ai envie de lire, pas assez de motivation pour lire vraiment régulièrement, une vitesse très lente qui me démotive parce que ça me fait rester trop longtemps sur le même livre alors que je suis une personne qui se lasse vite des choses et a besoin de changement.
- L'envie : j'ai du mal à vraiment me laisser prendre par l'histoire, je pense beaucoup à autre chose. Ca ne m'empêche pas d'avancer dans ma lecture mais ça n'arrive plus, comme avant, à me faire oublier le monde qui m'entoure et à être vraiment dans l'histoire. Je voudrais que quand je lise un livre, j'aime vraiment ça, et que ça me fasse oublier mon angoisse, mes problèmes. J'aimerais ressentir le style comme avant. Est-ce que ça vient avec l'habitude ?

          Les gens
Des personnes qui me manquent énormément. Je ressens aussi beaucoup de colère ces derniers temps, je me mets à m'énerver pour rien, je me surprends à être agacée par des choses tellement banales que je ne comprends pas moi-même pourquoi ça m'énerve. J'oscille entre colère et tolérance envers les autres, mais à chaque fois que je décidé d'essayer de tout voir positivement, même si je fais de mon mieux pour rester calme en apparence et ne pas m'énerver, au fond de moi-même je reste énervée, de mauvaise humeur, déçue et encore déçue. La tension accumulée durant le second trimestre m'a complètement fatiguée, a anéanti la joie que j'avais réussi à retrouver grâce aux vacances.

          Le vol
Je marchais dans la rue, le casque sur les oreilles, l'ipod dans une main, un livre dans une autre, un sac plastique contenant un déguisement pour le carnaval sur un bras, un sac à dos sur l'épaule, quand soudain un enfant d'environ 11 ans que je n'avais pas vu arriver me heurta assez brutalement. Je pensais bien qu'il l'avait fait volontairement, je me retournai pour voir son visage avant de me rendre compte qu'il était en train de s'enfuir en courant avec mon casque. Je suis allée ramasser mon ipod qui par chance s'était débranché et était tombé par terre au lieu d'être lui aussi embarqué, et j'ai regardé d'un air désespéré le voleur qui courait toujours, mon casque en main, avec une fille du même âge. Je n'ai pas cherché à le poursuivre, parce qu'il était trop loin, que je ne l'aurais pas rattrapé, que ça pouvait aussi être un piège pour m'attirer dans un piège, sait-on jamais. Déprimée, je suis rentrée chez moi en me disant que j'étais vraiment déçue qu'on ne puisse plus se balader avec des objets qui ont un peu de valeur sans risquer de se les faire voler, qu'on ne peut pas se promener la nuit sans craindre de se faire enlever, assassiner, que quand on est une fille on peut encore moins s'aventurer seule dans les rues à certaines heures ou certains endroits sans craindre de se faire violer... J'aime le monde, j'aime la vie, mais il y a des choses qui, franchement, me dépriment profondément.

Le retour du Destin :
Ma grande frustration restera quand même les trois notes que j'ai eues après l'arrêt des notes du deuxième trimestre : 14 en histoire (un exploit sachant que je m'étais contentée de lire le cours deux fois la veille), 14,5 en économie (exploit encore plus grand puisque je n'avais jamais dépassé 10-11 à mes DS, que j'avais fini à 10h45 en ayant eu la flemme de me relire), 17,5 en espagnol (dont 10/10 à l'expression écrite, vous y croyez vous ?  Moi non plus !). Faut croire que j'ai progressé, le problème étant que j'ai plutôt l'impression d'avoir eu des coups de bol en histoire et en SES donc je ne sais absolument pas comment faire pour réussir comme ça mes prochains DS. Mais j'ai quand même l'impression d'avoir un peu progressé intellectuellement ces derniers temps, ce sera le seul point positif de ce deuxième trimestre. A force de réfléchir, je finis par y arriver mieu. Et, deuxième constation, me forcer à travailler vite en DS (challenge qui paraît débile, on en conviendra) a eu des effets positifs (à moins que ce soit le hasard ?), me forcer à penser vite peut être utile. Mais frustration, je disais, parce que ces belles notes compteront dans le troisième trimestre, celui qui ne sert strictement à rien. Quelle ironie. Le destin m'a bien eue sur ce coup-là.

Le mot de la fin ?
Je suis en vacances et déjà je me sens un peu mieux. J'écrirai prochainement un article pour parler de mes lectures, et aussi afin d'évoquer plus précisément certains aspects. Mais avec tout ce que j'avais à dire je ne pouvais pas me permettre de développer plus chaque thème. L'article est déjà bien assez long comme ça, je m'en excuse. Bonne soirée à tous !

dimanche 17 février 2013

Telle est ma quête, suivre l'étoile...

Lévi-Strauss a expliqué pourquoi aller observer une civilisation pouvait la modifier. Le simple fait que nous soyons présents changera sa façon de se comporter. Je pourrais appliquer ce schéma à ma ma propre analyse. En réfléchissant autant à ma personnalité, je risque de me changer, de ne plus me comprendre, de ne plus être ce que je suis. En voulant trop me connaître, en voulant trop me transformer en la personne que je voudrais être, je risque bien de me perdre. Pendant les vacances de noël j'ai eu l'impression de me retrouver. Mais à trop vouloir être fidèle à moi-même, je ne sais plus quel est ce moi-même que je poursuis. Je ne sais pas s'il existe une sorte de moi qui me corresponde, et qui fera que je me sentirai à ma place, en harmonie avec moi-même. Ou si cette idée du moi en accord avec lui-même n'est qu'une illusion et que mes caractéristiques ne sont que des éléments indépendants qui forment un tout hétérogène et bancal, aussi fragile qu'un château de carte qui peut être reconstruit mais qui sera toujours un peu différent du château précédent et tout aussi fragile. Les traits individuels sont bien solides, on les reconnait, mais en s'assemblant il n'y a pas d'harmonie. Je repense à ce qu'on  a dit en philosophie sur les qualités résultantes ou émergentes. Dans le premier cas, tout s'additionne et c'est tout. Dans le second cas en revanche, au moment de l'addition on observe de nouvelles caractéristiques. Je connais parfaitement bien mes caractéristiques individuelles.
 
Mais quelque chose cloche. Quelque chose que je n'arrive pas à définir. Je me reconnais, et en même temps je suis mal à l'aise, j'ai l'impression de sans cesse essayer de me tromper moi-même. Je ne crois qu'à moitié à l'image que je me suis créée. La fille qui adore la philosophie, qui aime lire et penser, qui voue une passion à la musique. J'ai l'impression que tout ça c'est du vent. La vraie moi, c'était celle qui ne réfléchissait pas trop, qui laisait de la fantasy à longueur de journée, qui adorait regarder des films le soir, qui s'en foutait pas mal d'être cultivée, qui refusait de lire des classiques parce que c'était l'ennui par excellence. Celle-là, si vous me l'aviez présentée, je l'aurais reconnue. J'ai fui en partie mon vrai moi, et il y a quelque chose d'irréversible dans cet acte, cette partie-là s'est perdue dans la crise d'adolescence et ne reviendra plus. Mais je ne suis pas non plus la personne que j'ai voulu être. Je n'ai pas encore réussi à l'atteindre. J'aime bien les classiques de la littérature, par exemple, mais je suis toujours paresseuse et c'est l'ordinateur que je continue de choisir. J'aime la philosophie, mais ce moi-là est surfait, j'aime en lire certes mais j'aime surtout en avoir lu et d'un autre côté ça m'ennuie un peu et ça me fatigue. Alors j'ai essayé de refaire un pas vers l'ancienne Eva, celle qui lisait de la fantasy avec passion ou qui regardait des films et des séries en étant comblée de le faire. Mais je n'ai plus ressenti la passion d'avant. Parce qu'une part de moi était reliée à l'autre moi que je me suis efforcée de créer. Le processus commence à être efficace. Il m'empêche de revenir en arrière, mais il ne m'a pas faite arriver au bout du chemin. J'ai essayé de faire coexister ces deux moi mais au final les deux sont faux, se chassent mutuellement, ce qui fait que je ne sais plus comment je dois être pour me sentir moi. Je n'arrive plus à aimer vraiment ce que j'aimais avant. Je n'arrive pas non plus à aimer vraiment ce qu'aime la nouvelle moi, celle que j'apprécie beaucoup mais qui n'existe pas encore. Je me connais mieux, mais je me connais aussi moins. J'ai trop évolué pendant mon adolescence, j'ai changé plus vite que la vitesse à laquelle j'ai été capable de m'analyser.
 
Ce que je voudrais, au fond, c'est atteindre l'idéal du Moi que je me suis créé : ce n'est pas un idéal que je veux atteindre parce que je me dévalorise actuellement, pas du tout, c'est plutôt comme un moi qui me correspondrait et sans lequel je ne me sentirais pas tout à fait bien dans ma personnalité. La personnalité, ça se crée. Je suis en train de construire la mienne et le résultat final attend peut-être patiemment que je le trouve. Je veux avancer et trouver mon idéal sans perdre trop de ce que je suis en chemin.  Je veux rester connectée à la Eva insouciante qui arrive à être heureuse comme jamais à la seule idée de voir bientôt un épisode de série, ou de lire un livre, ou de se balader sur internet.
 
Ce que je pourrais dire, au final, c'est que je suis mon propre objet d'expérience. Je ne veux pas que cette phrase ait quelque chose de prétentieux, mais je veux simplement dire qu'on peut aimer voir ce que les gens deviennent, comment ils s'adaptent à la vie, en faire une analyse sociologique et psychologique, mais que finalement ça marche aussi pour nous. Je veux porter sur moi un regard à la fois objectif et subjectif. Subjectif, c'est évident, puisque ce sont mes émotions, mes ressentis, mes pensées qui me guident. Objectif, parce que c'est aussi un regard extérieur que je veux poser sur moi lorsque je m'observe, pour ensuite ajuster mon comportement en fonction de ces observations, essayer d'en tirer des conclusions, mieux me comprendre pour enfin savoir si ce moi est atteignable, si c'est vraiment possible de se modifier soi-même à sa guise en fonction de ce qu'on veut être. C'est en cela que je suis mon propre objet d'expérience. Voyons maintenant où ça nous mènera.

mercredi 6 février 2013

Prépa ou fac ?

Il m'arrive souvent d'être convaincue que mon choix ne changera plus. Tel jour, je déclare que  je ferai une prépa et qu'on verra plus tard pour l'orientation. Et, le jour suivant, je ne veux plus et me voilà décidée à faire une licence de psychologie. Mon problème, c'est que mon idéal ce serait de faire les deux : prépa puis psycho. Seulement ça m'étonnerait bien qu'après un an de prépa je puisse directement intégrer la deuxième année de psychologie puisque je n'y aurai suivi aucune des matières qui y sont enseignées. Je pourrais aussi choisir de ne faire qu'un an de prépa, afin d'acquérir des bases solides, puis de repartir à 0 et aller en licence de psychologie. Mais "perdre" un an comme ça, c'est un peu bête.

Je ne vois pas du tout quels sont les débouchés après deux ans de prépa qui pourraient me convenir. En fait je me rends compte que si j'aime bien étudier plein de matières, rien ne m'attire assez pour en faire mon métier.

J'ai très envie de faire de la psychologie, mais j'ai aussi très envie de faire une hypokhâgne. Si je fais de la psychologie, je serai déçue de ne pas être allée en prépa. Si je fais une prépa et que je n'étudie jamais la psychologie, je m'en voudrai aussi. Face à cela, j'avoue que je suis un peu perdue. Est-il possible d'obtenir des équivalences en psychologie après un an de prépa ? Cela serait-il suicidaire ?
Si je ne suis pas prise en B/L, même la A/L m'intéresserait, en suivant l'option théâtre.
 
Je suis tiraillée.
L'orientation c'est une sacrée galère.

samedi 2 février 2013

Il s'en passe, des choses, en DS d'économie

Une ébauche d'article que j'ai rédigé pendant mon DS d'économie, puisque ça a été une catastrophe et que j'ai terminé 1h15 avant la fin de l'épreuve, 45min avant d'être autorisée à sortir. J'ai trouvé ça plus sympa de scanner ce que j'ai écrit plutôt que de tout retaper. Voilà donc comment je me suis amusée pendant ma séance de torture (pardonnez-moi pour les fautes d'orthographe, et l'écriture penchée - il ne faut pas trop m'en demander quand je suis en DS).





Edit : j'ai finalement eu 14,5 à ce DS.